| 
	 | 
	
	
	
	
	
	
	|  | 
	
		|   | Articles en accès libre |  
		| 1. Choisissez un n° |  
		
 
		| 2. Puis un article |  
	
	 |  
	
	| 
 |  
	| 
	
	 Observatoire 2025 et priorités de l'UTPF 
 
           
      	Sous la nouvelle présidence de Thierry Mallet, l'Union des Transports Publics et Ferroviaires trace un cap ambitieux avec l'identification de 10 chantiers prioritaires pour le mandat 2025-2027 et des propositions très concrètes pour le PLF 2026.
...
 lire la suite 
            Sous la nouvelle présidence de Thierry Mallet, l'Union des Transports Publics et Ferroviaires trace un cap ambitieux avec l'identification de 10 chantiers prioritaires pour le mandat 2025-2027 et des propositions très concrètes pour le PLF 2026.
 La conférence de presse annuelle de l'UTPF s'est tenue le 7 octobre 2025 pour présenter les 10 chantiers prioritaires du nouveau mandat, les propositions de l'UTPF dans le cadre du Projet de Loi de Finances 2026, ainsi que les résultats de la nouvelle édition de l'Observatoire de la mobilité sur le sujet Quel prix pour quels services ?
 
 Alors que la conférence Ambition France Transports appelle à un "choc d'offre massif indispensable", l'UTPF rappelle que les transports publics et ferroviaires sont plus que jamais une réponse à nos enjeux de cohésion sociale, de développement de notre économie et de décarbonation.
 
 Élu président de l'UTPF le 12 juin 2025, Thierry Mallet a présenté aux côtés des vice-présidents et membres du CA de l'UTPF Christophe Fanichet, Marc Delayer, Patrice Lovisa et Annelise Avril, les 10 actions prioritaires du nouveau mandat, parmi un plan plus complet issu du travail des commissions :
 
 1 - Financements : future loi-cadre sur le financement des infrastructures de transport et PLF 2026-2027, financements européens et budget 2028-2034 de l'Union Européenne
 
 2 - Négociations sociales : poursuite de la construction de la convention collective du ferroviaire et de la refonte des classifications et rémunérations dans le transport urbain
 
 3 - Concurrence dans les transports urbains, ferroviaires et franciliens : sécurisation du sac à dos social en cas de transferts de salariés et élaboration de solutions partagées entre opérateurs (communication des données dans le cadre des appels d'offre, liste commune d'informations au moment de la passation des marchés...)
 
 4 - Réduction de l'absentéisme : actions de prévention et lutte contre la fraude
 
 5 - Transformeurs : promotion du secteur, création d'outils d'orientation et d'une nouvelle offre de formation du CAP au Master
 
 6 - Sûreté dans les transports : mise en uvre opérationnelle de la loi Tabarot et du contrôle en temps réel de Stop Fraude qui permet de vérifier la véracité des adresses des contrevenants
 
 7 - Assurances : recherche de solutions pour garantir la continuité du service public dans le cadre d'un marché de l'assurance de plus en plus contraint
 
 8 - Exploitation ferroviaire : travail à un référentiel commun pour la sécurité ferroviaire et au déploiement des technologies ETCS et FRMCS bord et sol
 
 9 - Décarbonation : mobilisation en faveur du mix énergétique et d'une clause de revoyure du Règlement européen sur les émissions des autobus
 
 10 - Prospective : étude de scénarios de développement du secteur à long terme et travaux sur la transition démographique et l'impact du vieillissement de la population.
 
 
 
 L'UTPF formule des propositions pour le PLF 2026
 
 Dans le cadre de la partie I du PLF (recettes) :
 
 - Permettre aux Autorités organisatrices de la mobilité (AOM) de dégager de nouvelles sources de financement pour développer l'offre de transport public : augmentation du taux plafond du Versement mobilité hors Île-de-France, affectation aux AOM d'une fraction accrue des quotas carbone (ETS 1) portée à 250 MEuros, captation des plus-values foncières générées par les infrastructures de transport, majoration du taux plafond de la taxe de séjour avec affectation aux AOM
 
 - Préserver le patrimoine ferroviaire national : affectation chaque année à l'AFIT d'une fraction du produit ETS 1 (pour atteindre 600 MEuros à horizon 2028) pour la régénération et la modernisation du réseau ferroviaire, et éligibilité au mécénat de SNCF Gares & Connexions pour les dons des entreprises et des particuliers affectés à la rénovation de son patrimoine remarquable
 
 - Soutenir le pouvoir d'achat des salariés tout en protégeant la planète : pérennisation de l'exonération de cotisations sociales pour la prise en charge patronale des abonnements de transports publics jusqu'à 75%
 
 - Instaurer une fiscalité plus équitable entre les modes de transport de marchandises : sur-péage poids lourds sur les axes saturés pour favoriser le report modal
 
 Dans le cadre de la partie II du PLF (dépenses) :
 
 - Encourager l'investissement dans les transports publics urbains : mise en place d'un bonus écologique de 100 000 Euros pour l'acquisition de bus électriques ou hydrogène
 
 - Soutenir le fret ferroviaire : maintien de l'enveloppe de 200 MEuros/an pour soutenir les opérateurs de fret ferroviaire jusqu'en 2030
 
 Quel prix pour quels services ? L'UTPF s'est intéressée cette année à la perception du prix des transports publics et aux attentes des Français en matière de mobilité (enquête auprès de 2 054 personnes). Grands enseignements :
 
 - Un déficit d'information : seuls 48% des répondants se disent bien informés sur ce que le prix de leur ticket permet de financer. Les Français identifient mal les financeurs réels : 36% pensent que les collectivités sont le principal financeur, alors qu'en réalité ce sont les employeurs.
 
 - Des attentes fortes : les principales attentes des usagers concernent la sécurité (40%), la ponctualité (32%) et la fréquence accrue (29%). 76% des usagers jugent leurs dépenses justifiées par rapport au service proposé.
 
 - Le choc d'offre plébiscité : une large majorité reconnaît les externalités positives des transports publics (accès à la mobilité pour tous : 85%, amélioration de l'espace urbain : 82%, réduction de la pollution : 80%) et se dit prête à payer davantage pour les développer.
 
 - Un soutien au développement des transports publics : 90% des Français souhaitent que les transports en commun se développent, considérant ce développement comme bénéfique pour la société dans son ensemble (70%) avant même leur intérêt personnel (58%). 82% veulent que les fonds publics financent en priorité les transports en commun plutôt que les aides aux véhicules individuels.
 
 
 
              
        		
                
                  
 |  | 
 |  
	| 
	
	 Gianluca Ventura, élu président du Bus&Coach Euro Test 
 
           
      	Dans le cadre du renouvellement des responsables du Bus&Coach Euro Test, l'élection à bulletins secrets a accordé une nette majorité à Gianluca Ventura qui représente l'Italie.
 
 
 L'efficacité professionnelle de Gianluca Ventura est pro...
 lire la suite 
            Dans le cadre du renouvellement des responsables du Bus&Coach Euro Test, l'élection à bulletins secrets a accordé une nette majorité à Gianluca Ventura qui représente l'Italie.
 
 
 L'efficacité professionnelle de Gianluca Ventura est proverbiale. Elle permettra au jury d'évoluer. En particulier, celui-ci va créer une catégorie « interurbain » afin que les cars interurbains puissent faire valoir leurs arguments sans devoir tenter de s'aligner sur des critères d'évaluation conçus pour les bus urbains ou pour les cars de tourisme. Le jury récompensera donc distinctement les bus, cars interurbains et cars de tourisme. Les minis sont évalués à part.
 
 
 |  | 
 |  
	| 
	
	 Le congrès de la FNTV aura lieu le 15 octobre 2025 
 
           
      	Le congrès annuel de la Fédération Nationale des Transports de Voyageurs, lieu de convergence pour les acteurs du transport routier de voyageurs, réunit chaque année près de 400 participants autour de thèmes essentiels et actuels. Pour cette nouvelle... lire la suite 
            Le congrès annuel de la Fédération Nationale des Transports de Voyageurs, lieu de convergence pour les acteurs du transport routier de voyageurs, réunit chaque année près de 400 participants autour de thèmes essentiels et actuels. Pour cette nouvelle édition, « Agiles comme jamais, utiles comme toujours » les discussions porteront sur les réponses innovantes et concrètes apportées par les entreprises du secteur face aux défis économiques, sociaux, environnementaux et territoriaux. Les débats permettront de mettre en lumière les stratégies et solutions mises en uvre au quotidien pour promouvoir un transport plus durable et responsable.
             |  | 
 |  
	| 
	
	 Soumettez votre projet et participez à la Semaine européenne de la mobilité 
 
           
      	Organisée du 16 au 22 septembre, la Semaine européenne de la mobilité a pour objectif d'inciter les collectivités, les organismes et les citoyens de nombreux pays européens à opter pour des modes de déplacements plus durables.
 Les part...
 lire la suite 
            Organisée du 16 au 22 septembre, la Semaine européenne de la mobilité a pour objectif d'inciter les collectivités, les organismes et les citoyens de nombreux pays européens à opter pour des modes de déplacements plus durables.
 Les particuliers, collectivités, établissements publics, entreprises, associations peuvent soumettre et partager des initiatives de mobilités durables, durant la semaine, en :
 
 •	organisant des actions axées sur la mobilité durable pendant la semaine de l'événement principal, du 16 au 22 septembre (défis mobilité, ateliers de sensibilisation) ;
 
 •	valorisant une action permanente en faveur des mobilités durables réalisée dans les douze derniers mois ;
 
 •	organisant une journée sans voiture.
 
 
 
              
        		
                
                  
 |  | 
 |  
	| 
	
	 Le GART publie son rapport à propos des actions menées en 2024 
 
           
      	Ce rapport annuel retrace une année d'actions menées au plus près des territoires, avec un fil conducteur : la concertation. Dans un contexte où les transitions sont multiples, aussi bien écologique, énergétique que technologique, le GART a intensifi... lire la suite 
            Ce rapport annuel retrace une année d'actions menées au plus près des territoires, avec un fil conducteur : la concertation. Dans un contexte où les transitions sont multiples, aussi bien écologique, énergétique que technologique, le GART a intensifié son rôle d'assembleur et de force de proposition.
             |  | 
 |  
	| 
	
	 Journée d'échanges sur la mobilités employeurs du GART 
 
           
      	Les enseignements clés à retenir :
 - la nécessité de pérenniser les financements et les équipes dédiées au conseil en mobilité,
 
 - l'importance de mieux articuler les données entre entreprises et autorités organisatrices,
 
 - le ...
 lire la suite 
            Les enseignements clés à retenir :
 - la nécessité de pérenniser les financements et les équipes dédiées au conseil en mobilité,
 
 - l'importance de mieux articuler les données entre entreprises et autorités organisatrices,
 
 - le rôle stratégique des plans de mobilité inter-employeurs pour mutualiser les efforts;
 
 - le besoin de renforcer les obligations réglementaires pour ancrer durablement ces démarches.
 |  | 
 |  
	| 
	
	 50 MEuros d'ETS1 pour décarboner le transport 
 
           
      	Afin d'accélérer la décarbonation du transport public, le marché européen du carbone (alias ETS) permettra de reverser 50 MEuros aux AOM et aux communes non AOM ayant conservé leur réseau de transport urbain à la suite de la LOM. L'enveloppe de 50 ME... lire la suite 
            Afin d'accélérer la décarbonation du transport public, le marché européen du carbone (alias ETS) permettra de reverser 50 MEuros aux AOM et aux communes non AOM ayant conservé leur réseau de transport urbain à la suite de la LOM. L'enveloppe de 50 MEuros (pour 2025) est répartie entre les affectataires proportionnellement à leur population, le revenu fiscal de référence moyen par habitant et un coefficient logarithmique.
             |  | 
 |  
	| 
	
	 Charte contre l'usage des stupéfiants dans le Transport Routier de Voyageurs de l'OTRE AURA 
 
           
      	Le 16 juillet 2025, Fabrice GACHON, Président de l'OTRE AURA a cosigné avec Julien VUILLEMARD, Conseiller Régional en charge des transports scolaires et Interurbains et Maire de Vernaison (69) une charte d'engagement dans la lutte contre l'usage des ... lire la suite 
            Le 16 juillet 2025, Fabrice GACHON, Président de l'OTRE AURA a cosigné avec Julien VUILLEMARD, Conseiller Régional en charge des transports scolaires et Interurbains et Maire de Vernaison (69) une charte d'engagement dans la lutte contre l'usage des stupéfiants dans les transports routiers de voyageurs et plus spécifiquement dans les autocars scolaires. 
 Cette volonté commune d'assainir la profession trouve son origine dans l'accident mortel qui a endeuillé la ville de Châteaudun le 30 janvier dernier lorsqu'une jeune fille a perdu la vie dans l'accident de l'autocar scolaire dans lequel elle voyageait, le conducteur étant sous l'effet de stupéfiants.
 
 L'OTRE Auvergne Rhône-Alpes incitent ses entreprises adhérentes à :
 
 - Modifier les règlements intérieurs en y intégrant une clause de contrôle aléatoire ;
 
 - Conduire des actions de contrôles aléatoires ;
 
 - Tester systématiquement chaque nouveau conducteur embauché ;
 
 - Mener des actions de prévention et d'information auprès de leurs salariés.
 
 Dans leur rôle respectif et leurs missions spécifiques, l'OTRE AURA et la Région s'assureront ensemble de la promotion de la charte et d'une action conjointe auprès des pouvoirs publics visant à systématiser la lutte contre les stupéfiants dans le transport de voyageurs.
 
 
 
              
        		
                
                  
 |  | 
 |  
	| 
	
	 140 MEuros pour 19 projets de transports durables 
 
           
      	La France obtient un financement européen de 140 MEuros pour 19 projets d'infrastructure de transport pour des transports durables, innovants et interconnectés a l'échelle européenne.
 Le volet « transports » du Mécanisme pour l'Interconnexion...
 lire la suite 
            La France obtient un financement européen de 140 MEuros pour 19 projets d'infrastructure de transport pour des transports durables, innovants et interconnectés a l'échelle européenne.
 Le volet « transports » du Mécanisme pour l'Interconnexion en Europe (MIE) a validé la répartition des financements européens qui seront attribués au titre du quatrième appel à projets du MIE 2021-2027, dans l'attente de notification précise des fonds attribués, à l'automne. La France se félicite de la sélection de 19 projets la concernant, pour un montant total de subventions d'environ 140 MEuros. Cette décision confirme la qualité des dossiers portés et l'engagement de la France et de la Commission européenne en faveur du développement d'infrastructures de transport durables, innovantes et interconnectées à l'échelle de l'Union.
 
 Parmi les projets retenus, la totalité de ceux liés à la Ligne Nouvelle Provence-Côte d'Azur (LNPCA) ont été sélectionnés, illustrant le caractère stratégique de cet axe ferroviaire à l'échelle européenne :
 
 - les pôles d'échanges multimodaux de Marseille Saint-Charles et Saint-André et Nice Aéroport bénéficieront d'un soutien à hauteur de respectivement 7,5 MEuros et 3 MEuros ;
 
 - le déploiement du système européen ERTMS niveau 2 sur la ligne Marseille-Vintimille recevant, quant à lui, un financement de 43 MEuros.
 
 La LNPCA incarne une ambition forte : celle de construire un arc ferroviaire méditerranéen à haute performance entre Barcelone et Gênes. En cohérence avec les priorités du réseau transeuropéen de transport (RTE-T), elle contribuera à améliorer les connexions transfrontalières, à renforcer la compétitivité des liaisons à grande vitesse et à accroître la robustesse du réseau existant
 
 Le secteur ferroviaire bénéficiera également d'un appui pour deux projets de rétrofit de locomotives portées par SNCF Réseau et AKIEM, financés respectivement à hauteur de 2,2 MEuros et 3,41 MEuros, afin d'accélérer la transition vers un matériel roulant plus durable.
 
 Dans le domaine portuaire, la France se félicite de la sélection d'un projet présenté conjointement avec l'Irlande, pour un montant de 19,2 MEuros, en faveur de la liaison transmanche entre Dunkerque et Rosslare. Le port de Bordeaux bénéficie par ailleurs de 1,4 MEuros pour moderniser ses systèmes d'information.
 
 La France souligne également l'importance du soutien apporté par la Commission à des projets portés par des consortiums européens, dont elle est partenaire avec d'autres Etats membres, pour plus de 40 MEuros. Ces projets permettront d'accélérer la numérisation, la décarbonation et d'améliorer l'efficience des différents modes, routier, ferroviaire ou encore aérien :
 
 Le projet MATIS 2 sur les systèmes de transport intelligents, recevra une subvention globale de 42,5 MEuros, dont 15,5 MEuros pour sa composante française ;
 
 Le transport aérien est soutenu à travers deux projets issus du programme SESAR pour la modernisation de la gestion du trafic aérien, AMEA et CLEAN ATM 3, qui recevront respectivement 21 MEuros et 8,9 MEuros.
 
 Enfin, le soutien de la Commission à des projets en faveur de la résilience des infrastructures constitue un signal fort pour la prise en compte de cette thématique essentielle, avec plus de 11 MEuros en faveur de :
 
 l'écluse de Gambsheim, élément stratégique pour la navigation sur le Rhin, qui bénéficiera d'un soutien de 5,1 MEuros ;
 
 SNCF Réseau, qui recevra 6,3 MEuros pour renforcer son réseau hydraulique ferroviaire, garantissant ainsi une meilleure adaptation aux risques climatiques croissants.
 
 Prenant acte de l'absence de nouveaux appels d'ici au prochain cadre financier pluriannuel (2028-2034), la France appelle la Commission européenne à prévoir dans les discussions budgétaires à venir un soutien renforcé à la hauteur des ambitions collectives en matière de transition écologique des mobilités, telles que portées par l'Union européenne et ses États membres.
 
 
 
              
        		
                
                  
 |  | 
 |  
	| 
	
	 Jusqu'au 26 sept 2025, déposez votre candidature Propulse ! 
 
           
      	L'Agence de l'Innovation pour les Transports (AIT) ouvre jusqu'au 26 septembre 2025, les candidatures pour intégrer son 5e programme Propulse. Ce programme d'accompagnement et d'accélération des projets innovants est destiné aux start-ups, PME, grand... lire la suite 
            L'Agence de l'Innovation pour les Transports (AIT) ouvre jusqu'au 26 septembre 2025, les candidatures pour intégrer son 5e programme Propulse. Ce programme d'accompagnement et d'accélération des projets innovants est destiné aux start-ups, PME, grands groupes, collectivités, associations ou établissements publics de recherche. Il donne accès à un accompagnement de 9 mois pour faciliter et accélérer la mise en uvre et le passage à l'échelle du projet. Propulse comprend trois appels à projets :
 -  Transports durables : accompagner des projets innovants au moins au stade de prototype/démonstrateur, contribuant à la mise en place de solutions de mobilité durables et décarbonées,
 
 -  Qualité de service : accompagner des projets d'accessibilité, d'inclusivité, d'amélioration de la sûreté, du confort, de la ponctualité ou plus généralement de l'expérience voyageur,
 
 -  Multimodalité et intermodalité : accélérer le déploiement de la multimodalité et de l'intermodalité efficientes au service des usagers et des territoires.
 
 
 
              
        		
                
                  
 |  | 
 |  
	| 
	
	 L'AMF alerte sur l'avenir des transports du quotidien 
 
           
      	Les élus locaux alertent sur l'avenir des transports du quotidien. Les résultats de l'enquête nationale (1) menée par l'AMF (Association des Maires de France) et Intercommunalités de France appellent à la plus grande vigilance et viennent tirer la so... lire la suite 
            Les élus locaux alertent sur l'avenir des transports du quotidien. Les résultats de l'enquête nationale (1) menée par l'AMF (Association des Maires de France) et Intercommunalités de France appellent à la plus grande vigilance et viennent tirer la sonnette d'alarme auprès du Gouvernement : lorsque la région est autorité organisatrice de la mobilité (AOM) locale, 76 % des intercommunalités répondantes déclarent ne pas disposer d'une offre de transport adaptée pour répondre aux besoins de déplacements du quotidien.
 • Repenser les politiques de transport en donnant au bloc communal les moyens d'agir
 
 Six ans après la loi d'orientation des mobilités, les promesses d'un « droit universel à la mobilité » restent lettre morte : seules 53 % des intercommunalités ont opté pour la compétence AOM. Le versement mobilité (VM), conditionné à un seuil de 11 salariés, exclut la majorité des entreprises rurales, et le nouveau VM régional, plafonné à 0,15 % de la masse salariale, se révèle dérisoire et, comme nous l'avions anticipé, inadapté pour développer des solutions dans les zones peu denses, tout en pénalisant les entreprises.
 
 L'AMF et Intercommunalités de France demandent la réouverture de la compétence mobilité à toutes les intercommunalités volontaires. Les résultats de l'enquête nationale confirment le bien-fondé de cette position puisque 75 % des communautés de communes non AOM répondantes déclarent qu'elles saisiraient ou étudieraient sérieusement la possibilité de se saisir de cette compétence.
 
 Les associations plaident aussi pour un déplafonnement du versement mobilité au-delà de 2 % dès lors que chaque AOM présente un plan de mobilité chiffré (lignes, fréquences, navettes, solutions vélo, calendrier opérationnel) au comité des partenaires et assorti d'un bilan annuel.
 
 • Pour une fiscalité au service des infrastructures routières
 
 Par ailleurs, depuis la suppression de la vignette routière en 2000, toutes les recettes issues de la TICPE, des péages autoroutiers, des amendes et des taxes d'immatriculation sont ponctionnées par l'État, alors que 65,5 % du million de kilomètres des infrastructures routières sont à la charge du bloc communal, dépourvues de toute ressource fiscale dédiée. Normes de sécurité renforcées, changement climatique, flambée des coûts des matériaux et baisse ininterrompue des dotations (DSIL, Fonds vert) obligent à différer les travaux d'entretien courant : routes et ouvrages d'art se dégradent à grande vitesse, les interventions d'urgence, jusqu'à trois fois plus onéreuses, se multiplient, et les zones peu denses, déjà fragilisées, voient leurs fractures sociales et territoriales se creuser.
 
 Pour rétablir un équilibre juste, l'AMF et Intercommunalités de France exigent dès aujourd'hui et de façon pérenne :
 
 • la réaffectation d'une part significative des recettes aux communes et intercommunalités, assortie d'un mécanisme de compensation spécifique aux surcoûts des zones rurales ;
 
 • que le bloc communal soit pleinement intégré dans le modèle économique post-concession autoroutière ;
 
 • que soient revalorisées les redevances versées par EDF, GRTgaz, les opérateurs télécoms et tous les utilisateurs du domaine public routier ;
 
 • et que le produit des amendes pénales relatives à la circulation routière dressées par la police municipale et les gardes champêtres, aujourd'hui largement reversé à l'État, puisse être réaffecté aux budgets des communes et intercommunalités compétentes.
 
 L'AMF et Intercommunalités de France attendent à présent des pouvoirs publics et de l'ensemble des acteurs de la mobilité que ces propositions soient retenues et traduites en engagements concrets et chiffrés lors de la réunion de synthèse des différents ateliers. C'est à ces conditions que pourront être garantis la cohésion territoriale, l'adaptation aux enjeux de transition écologique et climatique et le droit effectif à la mobilité pour tous.
 
 
 
 (1) L'enquête a été menée auprès de l'ensemble des communes et des intercommunalités de France, entre le 9 avril et le 26 juin 2025. L'analyse a été effectuée sur les réponses complètes de 125 intercommunalités et 1 148 communes. Les résultats et analyses détaillés sont publiés le 9 juillet 2025.
 
 
 
              
        		
                
                  
 |  | 
 |  
	| 
	
	 Les 10 propositions du GART pour un financement équilibré de l'avenir de nos mobilités 
 
           
      	1 - Donner une vision long terme pour financer infrastructures et décarbonation des mobilités.
 Il est indispensable de planifier l'avenir des mobilités et de stabiliser le cadre législatif et règlementaire sur le sujet.
 
 2 - Agir sur l...
 lire la suite 
            1 - Donner une vision long terme pour financer infrastructures et décarbonation des mobilités.
 Il est indispensable de planifier l'avenir des mobilités et de stabiliser le cadre législatif et règlementaire sur le sujet.
 
 2 - Agir sur les taxes existantes
 
 Les leviers fiscaux existent (versement mobilité, nouveaux modes de financement des AOM tenant compte de l'usage de l'infrastructure routière), et il est important de les orienter vers la décarbonation de nos déplacements du quotidien. Le GART suggère notamment de longue date un taux réduit de TVA à 5,5% sur les transports publics.
 
 3 - Créer un fond d'innovation garanti par l'Etat pour couvrir les risques des AOM qui testent des nouvelles mobilités et nouvelles filières
 
 Les AOM investissent régulièrement dans de nouvelles filières énergétiques (gaz renouvelables) ou les innovations (navettes autonomes, autopartage de VELI's...). Ces investissements sont portés par la collectivités. Il serait nécessaire de mutualiser les risques des investissements des AOM en faveur de la décarbonation des mobilités avec la création d'un fond.
 
 4 - Financer l'intermodalité, le covoiturage & l'innovation pour des mobilités du quotidien plus efficientes dans le cadre du déploiement des SERM
 
 Les innovations et le covoiturage doivent être pleinement intégrés dans le financement de l'intermodalité. Il est nécessaire de développer des réseaux de covoiturage domicile-travail avec les AOM, qui permettent de proposer plus de mobilité partagée avec moins de ressources.
 
 5 - Valoriser financièrement les externalités positives de la transition et les flécher vers la décarbonation des mobilités du quotidien
 
 Afin de financer la décarbonation et le report modal, les contributeurs s'accordent sur la nécessité de mieux valoriser financièrement les externalités positives de la transition énergétique, non seulement en termes de carbone, mais également de santé publique ou encore de nuisances sonores, dont les coûts ont été évalués par les pouvoirs publics.
 
 6 - Rendre les SDIRVE opposables à l'implantation des bornes de recharge ou des stations des carburants alternatifs (biogaz, hydrogène)
 
 Les Schémas Directeurs d'Infrastructures de Recharge pour Véhicules Electriques (IRVE) sont des outils portés par les collectivités ou les Autorités Organisatrices de la Distribution d'Energie pour coordonner le déploiement des IRVE et des stations BioGNV & hydrogène et d'assurer un maillage territorial cohérent et une péréquation des territoires. Une évolution réglementaire pourrait rendre les SDIRVE opposables au tiers sur le plan règlementaire afin que chaque opérateur qui souhaite investir dans le déploiement d'IRVE s'y réfère et participe également à la cohérence d'un maillage territorial opérant.
 
 7 - La France doit porter auprès de l'Europe l'importance d'une approche ACV intégrant le biogaz dans les objectifs de décarbonation des véhicules
 
 L'analyse du cycle de vie (ACV) d'un véhicule permet de rendre compte de son impact environnemental de sa construction à sa destruction. Les perspectives européennes annoncent pour l'instant la fin du biogaz à horizon 2040 pour les poids lourds et une politique 100% électrique à horizon 2035 pour les véhicules légers. Pourtant, les collectivités et les AOM ont investi depuis des années dans des écosystèmes territoriaux autour du biogaz, en développant des unités de méthanisation et les usages de mobilité autour, afin de décarboner les flottes grâce à cette énergie renouvelable produite à partir des déchets fermentescibles locaux. Dans ce contexte, et pour optimiser les investissements français déjà consentis pour financer l'avenir des mobilités, il est essentiel que la France défende auprès de l'Europe un mix énergétique équilibré, intégrant l'ensemble des énergies bas-carbone, et en particulier le biogaz, qui restent un levier important pour réduire les émissions de polluants.
 
 8 - Mettre en place une éco-contribution sur les livraisons rapides pour financer une logistique plus vertueuse
 
 A l'image de l'électroménager, la mise en place d'une éco-contribution sur les livraisons expresses (moins de 24 heures), portée par le client final, permettrait de rappeler l'emrpeinte écologique et sociale de cette logistique, et d'alimenter un fonds permettant de bonifier à l'inverse la logistique particulièrement vertueuse (utilisant des véhicules à motorisation alternative, la cyclologistique, la reverse logistique ou une optimisation / mutualisation particulière reconnue des flux).
 
 9 - Logistique et foncier : décloisonner les politiques publiques d'urbanisme et de mobilité pour massifier les flux quotidiens
 
 Les liens entre politiques de mobilité et urbanisme / aménagement du territoire sont ténus. Dans le cadre du financement de l'avenir des mobilités du quotidien, il est nécessaire de décloisonner les approches pour intégrer pleinement les innovations foncières, à l'image de la Logistique Urbaine Verticale Automatisée.
 
 10 - Créer un leasing social professionnel garanti par l'Etat pour permettre aux petites entreprises et aux collectivités de verdir leurs flottes
 
 A l'image du leasing social mis en place pour les particuliers, Géraldine Mezzalira, CEO de Watea by Michelin, propose la mise en place d'un leasing social professionnel réservé aux entreprises et aux collectivités de petites tailles qui auraient besoin d'une garantie d'Etat pour accéder à la location longue durée de véhicules électriques ou à énergie alternative pourrait permettre de partager le risque et favoriser l'accès aux technologies moins polluantes à des professionnels qui en sont aujourd'hui exclus.
 
 
 
 - LF
 
              
        		
                
                  
 |  | 
 |  
	| 
	
	 Le financement des infrastructures de transport discuté à Marseille 
 
           
      	La conférence baptisée Ambition France Transports, consacrée au financement des infrastructures de transport, a été lancée à Marseille. Une plateforme est ouverte pour recueillir les propositions jusqu'au 20 juin. Présidée par Dominique Bussereau, la... lire la suite 
            La conférence baptisée Ambition France Transports, consacrée au financement des infrastructures de transport, a été lancée à Marseille. Une plateforme est ouverte pour recueillir les propositions jusqu'au 20 juin. Présidée par Dominique Bussereau, la conférence vise à définir un nouveau modèle de financement à horizon 2040. Elle rassemblera plus de 50 participants (élus, experts, acteurs publics et privés, fédérations professionnelles et collectifs d'usagers) autour de quatre ateliers thématiques. Un rapport de synthèse sera rendu au Premier ministre mi-juillet. "Cette conférence doit poser un diagnostic lucide, exprimer une vérité sur les besoins, tout en respectant le cadre budgétaire exigeant que le Premier ministre a rappelé", a déclaré Philippe Tabarot, ministre chargé des transports.
             |  | 
 |  
	| 
	
	 Le congrès de l'UITP aura lieu en juin à Hambourg 
 
           
      	L'Union internationale des transports publics (UITP) tiendra son prochain congrès à Hambourg du 15 au 18 juin. Dans un entretien accordé à notre confrère britannique Bus-News, le secrétaire général de l'UITP, Mohamed Mezghani (photo), a justifié le c... lire la suite 
            L'Union internationale des transports publics (UITP) tiendra son prochain congrès à Hambourg du 15 au 18 juin. Dans un entretien accordé à notre confrère britannique Bus-News, le secrétaire général de l'UITP, Mohamed Mezghani (photo), a justifié le choix de cette ville par son réseau de transport public parmi les plus en pointe en ce qui concerne les énergies alternatives et les services offerts aux usagers... Outre-Rhin, rappelle le secrétaire général, l'UITP a de nombreux membres et villes adhérentes. Les thèmes du congrès seront orientés sur le zéro émission, les technologies et le transport de personnes en hyper-centre. L'UITP est l'occasion pour l'ensemble des acteurs mondiaux dans les transports (élus, opérateurs, constructeurs, équipementiers...) d'échanger et de découvrir les nouveaux autobus. En 2023, à Barcelone, il y avait eu 10 000 visiteurs qui ont pu rencontrer 335 exposants. 425 personnalités avaient pris la parole dans le cadre de réunions et de présentations.
             
              
        		
                
                  
 |  | 
 |  
	| 
	
	 Hausse de 2 % des rémunérations chez les voyageurs 
 
           
      	Les syndicats patronaux et salariés ont ratifié les nouveaux accords salariaux dans le transport routier de voyageurs. Dans sa newsletter, l'OTRE précise que "les minimas conventionnels sont revalorisés de 2 % pour tous les coefficients des quatre gr... lire la suite 
            Les syndicats patronaux et salariés ont ratifié les nouveaux accords salariaux dans le transport routier de voyageurs. Dans sa newsletter, l'OTRE précise que "les minimas conventionnels sont revalorisés de 2 % pour tous les coefficients des quatre grilles, et sera applicable à partir du 1ᵉʳ février 2025". Nous publions la grille "Ouvrier" qui correspond à ceux des conducteurs.
             
					    			
	
	
            
    		
	|   Source : OTRE
 |  
              
        		
                
                  Source : OTRE |  | 
 |  
	| 
	
	 Voeux du Gart : le nouveau ministre chargé des Transports invité à se pencher d'urgence sur la question du financement des mobilités 
 
           
      	Lors du Conseil d'administration, qui s'est tenu le 15 janvier, le président du Gart, Louis Nègre, a rappelé dans son discours des vux adressé au ministre délégué chargé des Transports, Philippe Tabarot, ainsi qu'à l'ensemble des acteurs du sec... lire la suite 
            Lors du Conseil d'administration, qui s'est tenu le 15 janvier, le président du Gart, Louis Nègre, a rappelé dans son discours des vux adressé au ministre délégué chargé des Transports, Philippe Tabarot, ainsi qu'à l'ensemble des acteurs du secteur réunis à cette occasion que « le financement de la mobilité est désormais une question cruciale... ». Louis Nègre a invité les élus d'avoir le courage de regarder les défis financiers en face : « Le double choc d'investissement et de fonctionnement qui pèse sur nos réseaux comme une épée de Damoclès doit être enfin affronté. Il ne faut plus tergiverser sous peine d'une défaillance de l'écosystème. C'est une question de justice sociale, d'équité territoriale et de responsabilité écologique. Et ce d'autant plus dans un pays où les prélèvements obligatoires issus de la mobilité s'élèvent à près de 60 milliards d'euros par an... ». Le Gart est inquiet car le gouvernement actuel plaiderait en faveur du retrait de 2 dispositifs soit le déplafonnement du taux de versement mobilité pour les AOM locales et la création d'un versement mobilité régional, une initiative portée initialement par Régions de France.
 
 
					    			
	
	
            
    		
	|   Photo Gart / X D.R.
 |  
              
        		
                
                  Photo Gart / X D.R. |  | 
 |  
	| 
	
	 Gouvernement de François Bayrou : Philippe Tabarot est le nouveau ministre chargé des Transports 
 
           
      	Philippe Tabarot remplace François Durovray aux Transports. Philippe Tabarot a été vice-président du conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur chargé des transports, de l'intermodalité et de la sécurité de 2015 à 2021 et est sénateur des Alpes-M... lire la suite 
            Philippe Tabarot remplace François Durovray aux Transports. Philippe Tabarot a été vice-président du conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur chargé des transports, de l'intermodalité et de la sécurité de 2015 à 2021 et est sénateur des Alpes-Maritimes depuis 2020.
             |  | 
 |  
	| 
	
	 Au congrès de la FNTV, les bonnes nouvelles pour la profession du TRV 
 
           
      	Le congrès de la FNTV à la Maison de la Chimie à Paris a abordé panoplie de thématiques : transition énergétique, mobilité rurale ou encore le transport par autocar et les avantages des déplacements en car de tourisme notamment dans les capitales eur... lire la suite 
            Le congrès de la FNTV à la Maison de la Chimie à Paris a abordé panoplie de thématiques : transition énergétique, mobilité rurale ou encore le transport par autocar et les avantages des déplacements en car de tourisme notamment dans les capitales européennes... Après le discours d'introduction du président de la FNTV, Jean-Sébastien Barrault, c'est le nouveau ministre délégué chargé des Transports qui a pris la parole. Sans détours, François Durovray s'est concentré sur les préoccupations des professionnels du TRV. Il a répondu "à la longue liste de courses" de la FNTV qu'il avait rencontré au préalable. Très haut sur cette liste, il y a l'allégement pour l'obtention des documents de conduite. Le ministre a annoncé que le texte était actuellement examiné par le Conseil d'Etat, et qu'il serait publié la fin de l'année. Le plan national de cars express a été "le" sujet longuement évoqué. Le ministre en a fait sa priorité : il a insisté sur le fait que ce plan fera l'objet début 2025 d'une conférence impliquant tous les acteurs (élus, collectivités, régions, organisations professionnelles...) qui englobera les gares routières, les lignes et un cadre réglementaire précis. "La route doit pouvoir transporter plus de monde que de véhicules" a-t-il conclut faisant référence à l'autosolisme que combat notamment le Gart.
             
              
        		
                
                  
 |  | 
 |  
	| 
	
	 La transition énergétique abordée au congrès de la FNTV 
 
           
      	Organisé autour du thème autour du thème "Incontournables pour un transport durable !", le congrès de la FNTV, qui a lieu aujourd'hui à Paris, abordera plusieurs sujets dont la transition énergetique. Parmi les intervenants, il y a Solène Grange, dir... lire la suite 
            Organisé autour du thème autour du thème "Incontournables pour un transport durable !", le congrès de la FNTV, qui a lieu aujourd'hui à Paris, abordera plusieurs sujets dont la transition énergetique. Parmi les intervenants, il y a Solène Grange, directrice générale d'Iveco France. Un débat autour de l'électrique aura lieu par la suite. Rendez-vous à la Maison de la Chimie Paris 7e. Voir le programme complet
 
 |  | 
 |  
	| 
	
	 Une pluie de milliards pour les transports franciliens... 
 
           
      	A l'occasion de l'une de ses premières sorties officielles, le nouveau ministre des Transports a signé un gros chèque : 8,4 milliards euros pour les transports franciliens dans le cadre signature du contrat de plan État-Région Île-de-France. Le monta... lire la suite 
            A l'occasion de l'une de ses premières sorties officielles, le nouveau ministre des Transports a signé un gros chèque : 8,4 milliards euros pour les transports franciliens dans le cadre signature du contrat de plan État-Région Île-de-France. Le montant servira à finaliser surtout des projets ferroviaires et aussi le fameux projet de bus à haut niveau de service Tzen qui a pris du retard. Côté infrastructures, 620 MEuros permettront, au-delà du développement des voies réservées, de moderniser les infrastructures pour plus de confort et de sécurité des usagers.
             
					    			
	
	
            
    		
	|   De gauche à droite : Marc Guillaume, préfet de la région IDF, François Durovray, ministre chargé des Transports et Valérie Pécresse, présidente de la région IDF (photo Guillonneau).
 |  
              
        		
                
                  De gauche à droite : Marc Guillaume, préfet de la région IDF, François Durovray, ministre chargé des Transports et Valérie Pécresse, présidente de la région IDF (photo Guillonneau). |  | 
 |  
	|  |  |  
  
  
		| Articles en accès libre |  
		|   |  
		| 1. Sélectionnez un numéro |  
		| 2. Choisissez un article en accès libre |  
		|  |  |  |