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Premier semestre historique pour Flix
Le transport par autocar longue distance est une activité en plein boom estime Flix, avec 50 % de croissance en plus au premier semestre. De janvier à fin juin 2023, plus de 36 millions de passagers dans le monde ont voyagé avec FlixBus, FlixTrain, G...
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Le transport par autocar longue distance est une activité en plein boom estime Flix, avec 50 % de croissance en plus au premier semestre. De janvier à fin juin 2023, plus de 36 millions de passagers dans le monde ont voyagé avec FlixBus, FlixTrain, Greyhound et Kamil Koç, en augmentation de 53 % par rapport à 2022. Le chiffre d'affaires total du groupe Flix s'élève à 860 millions d'euros, soit une augmentation de 54% par rapport aux 557 millions d'euros entre janvier et juin 2022. Cela signifie que le premier semestre 2023 a été le premier semestre le plus réussi de l'histoire de l'entreprise. « Flix réalise avec succès une croissance durable et rentable » , a déclaré André Schwämmlein, PDG et cofondateur de Flix, « nous sommes sur la bonne voie dans tous les segments et avons pu élargir considérablement notre offre sur de nombreux marchés au premier semestre. Flix continue d'être une réussite mondiale en matière de travel-tech » .
Parmi les chiffres à retenir mentionnons :
En l'Europe, Flix a transporté plus de 24 millions de passagers et une croissance du volume de passagers de 75 % par rapport à la même période de l'année précédente.
Aux États-Unis, au Canada et au Mexique, plus de 5 millions de passagers ont utilisé les services de FlixBus et Greyhound, soit une augmentation de 33 % par rapport à la même période du premier semestre 2022.
En Turquie, plus de 6,8 millions de passagers ont voyagé avec Kamil Koç, filiale de Flix, soit 14 % de plus qu'au premier semestre 2022. Plus de 300 arrêts sont inclus dans notre réseau de bus longue distance turc.
Photo FlixBus / X D.R.
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Photo FlixBus / X D.R.
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Hausse du prix du carburant : de plus en plus de Français laissent leur voiture au garage
A la veille de la 17e édition de la Rentrée du transport public (16 au 22 septembre), des milliers de salariés laissent leur voiture au garage et se déplacent depuis leur domicile à leur travail en transports en commun... Les élus du Gart et de l'UTP...
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A la veille de la 17e édition de la Rentrée du transport public (16 au 22 septembre), des milliers de salariés laissent leur voiture au garage et se déplacent depuis leur domicile à leur travail en transports en commun... Les élus du Gart et de l'UTP ne s'attendaient sans doute pas à ce changement de comportement à la rentrée, mais face à la hausse du prix du carburant et l'inflation, ces « nouveaux » clients prennent aujourd'hui le bus (mais aussi le tramway, le métro, le vélo). Dans le Finistère, « La hausse des prix et la progression de la conscience écologique font sauter le pas à de plus en plus de Finistériens. Ils délaissent la voiture pour leurs déplacements professionnels et personnels. Avec les joies et les contraintes d'un tel choix » explique FranceBleu qui a enquêté dans la région de Quimper. On plébiscite le bus surtout chez les étudiants. Il y a davantage d'actifs qu'auparavant, contraints par l'augmentation des prix du gazole, de l'essence et de la vie en général. Claude s'y est mis et, depuis, il parcourt l'agglomération quimpéroise en bus : « (...) Mon salaire ne me permet pas de prendre la voiture, quand vous comparez, le calcul est vite fait ». Le bus lui coûte 16 euros par mois, puisque son employeur lui rembourse la moitié de l'abonnement.
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11 nouvelle lignes de bus de soirée en Ile-de-France
Île-de-France Mobilités a engagé de nombreuses actions pour améliorer l'offre bus la nuit et en soirée, en proposant notamment des services aux habitants de grande couronne afin de leur donner accès aux loisirs parisiens. Depuis 2019, Île-de-France M...
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Île-de-France Mobilités a engagé de nombreuses actions pour améliorer l'offre bus la nuit et en soirée, en proposant notamment des services aux habitants de grande couronne afin de leur donner accès aux loisirs parisiens. Depuis 2019, Île-de-France Mobilités a développé ce service, afin de permettre aux Franciliens de parcourir plus facilement le dernier kilomètre depuis leur gare en soirée. L'Autorité organisatrice poursuit le développement de ce service : ce sont désormais 5 nouveaux territoires qui sont desservis par 11 nouveaux services de bus de soirée. Soit désormais 36 services qui s'inscrivent en complément des lignes de train et de bus existants. Rappelons que les bus de soirée prennent le relais des lignes habituelles. Ce service améliore la correspondance avec le train, facilite de dernier kilomètre, en rendant les retours plus sûrs. Aux 25 services déjà existants, 11 nouvelles lignes supplémentaires desservent 5 territoires franciliens, depuis cet été :
Création de 3 nouveaux bus de soirées à Roissy Ouest : Goussainville, Gonesse et Garges-lès-Gonesse ;
Création de 3 nouveaux bus de soirées à Roissy Est : Mitry-le-Neuf, Mitry-Claye et Villeparisis ;
Création de 2 nouveaux bus de soirées Pays de Montereau : Montereau Nord et Montereau Sud
Création de 2 nouveaux bus de soirées à Fontainebleau - Moret : Fontainebleau-Avon et Moret-sur-Loing - Veneux-les-Sablons ;
Création d'un nouveau bus de soirées à Vallée du Loing - Nemours : Nemours.
Photo X D.R.
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Photo X D.R.
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Flix lance ses premières liaisons avec la Finlande et relie désormais tous les pays de l'UE continentale
FlixBus a lancé le 27 juillet ses premières connexions vers la Finlande. Les premiers bus verts sont partis de Varsovie (Pologne) pour se rendre à Vaasa (Finlande). Le voyage comprend un trajet en ferry de Tallinn à Helsinki. Grâce à cette expansion,...
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FlixBus a lancé le 27 juillet ses premières connexions vers la Finlande. Les premiers bus verts sont partis de Varsovie (Pologne) pour se rendre à Vaasa (Finlande). Le voyage comprend un trajet en ferry de Tallinn à Helsinki. Grâce à cette expansion, FlixBus relie les villes finlandaises avec l'Europe centrale, et propose désormais des services du nord au sud du continent. André Schwämmlein, PDG de Flix : « Avec l'arrivée de Flix sur le marché finlandais, nous franchisons une nouvelle étape importante en reliant tous les pays continentaux de l'UE. En élargissant notre offre, nous poursuivons notre mission qui est d'offrir des options de voyage abordables et durables à tout le monde. Nous sommes convaincus qu'en proposant des moyens de transport pratiques à l'échelle mondiale, nous allons révolutionner le marché du voyage. De plus, les gens sont de plus en plus conscients et soucieux de leur impact sur l'environnement et nous souhaitons créer les opportunités pour qu'ils choisissent le transport collectif et réduisent leur empreinte carbone ». En Finlande, les bus s'arrêtent dans les villes de Vaasa, Närpiö, Pori, Rauma, Raisio, Turku, Salo, Espoo et Helsinki. Le trajet continue à travers l'Estonie, la Lettonie et la Lituanie avant d'atteindre son terminus à Varsovie, en Pologne. Avec une seule interconnexion, les passagers de Finlande peuvent rejoindre d'autres villes européennes, telles que Berlin, Vienne ou Bratislava. Sur la base de son modèle d'entreprise, FlixBus travaille en coopération avec des partenaires locaux dans le monde entier, qui sont responsables des opérations courantes. Les bus de FlixBus sont modernes et équipés des systèmes de sécurité les plus élevés, ce qui fait de FlixBus un transporteur reconnu et digne de confiance. Grâce à cette expansion, la Finlande est désormais facilement accessible depuis de nombreux pays européens et devient une autre destination estivale de choix ajoutée au réseau de FlixBus. La première ligne vers la Finlande sera exploitée par une société de transport lituanienne, Ollex, et l'opérateur de ferry, Tallink. Grâce à cette coopération entre Tallink et FlixBus, les passagers peuvent combiner le bus et le ferry sur un seul billet et arriver en Finlande en effectuant une seule réservation.
Photo bnn.network
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Photo bnn.network
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RATP - Des résultats semestriels très fortement impactés par les tensions inflationnistes
La RATP vient de communiquer ses résultats semestriels avec ce constat : les effets de l'inflation (5,6 % au 1er semestre) ont eu un fort impact sur les charges d'exploitation. Pour le premier semestre 2023, l'inflation génère une croissance des char...
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La RATP vient de communiquer ses résultats semestriels avec ce constat : les effets de l'inflation (5,6 % au 1er semestre) ont eu un fort impact sur les charges d'exploitation. Pour le premier semestre 2023, l'inflation génère une croissance des charges de -74 MEuros pour les salaires, -103 MEuros pour l'énergie et -26 MEuros pour les autres charges externes, soit -203 MEuros au total. A mi-exercice, l'impact de l'inflation sur les charges de l'EPIC excède déjà celui constaté sur les années précédentes (-200 MEuros pour toute l'année 2022 et -56 MEuros en 2021). D'autre part, les résultats du semestre sont enfin impactés par les grèves sur les retraites (-10 MEuros) et l'impact des émeutes de juin (-6 MEuros) précise la RATP. Reste une note positive : une remontée du trafic voyageurs qui poursuit sa remontée en Ile-de-France, avec une croissance de 6% par rapport au 1er semestre 2022, à 1 518 millions de voyages, tirée par la normalisation de la situation sanitaire, la remontée du tourisme, et l'évolution des prix du carburant. Mais il reste inférieur de -15 % à son niveau du 1er semestre 2019, du fait de l'installation durable du télétravail, et des difficultés de production sur le mode bus et de l'impact des grèves de mars, mais cet écart continue de se résorber (-8 % en juin 2023 comparé à juin 2019).
Photo Sy / RATP
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Photo Sy / RATP
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Recharge par pantographe inversé pour les bus de la ligne Nice-Menton exploités par Transdev
Engagé pour une mobilité propre face aux enjeux climatiques, Transdev continue d'innover et de développer de nouveaux outils afin d'accompagner les territoires dans leur transition écologique. Depuis le mois d'avril, 18 bus articulés électriques, ali...
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Engagé pour une mobilité propre face aux enjeux climatiques, Transdev continue d'innover et de développer de nouveaux outils afin d'accompagner les territoires dans leur transition écologique. Depuis le mois d'avril, 18 bus articulés électriques, alimentés par la technologie du pantographe inversé, sont mis en service sur la ligne reliant la ville de Nice à Menton. Un choix stratégique opéré par Transdev, exploitant sur le réseau Zou! de cette ligne pour le compte de la région Sud. Il a pour objectif de soutenir le verdissement de la ligne la plus empruntée des Alpes-Maritimes, qui assure plus de 100 trajets/jour et compte en moyenne 2 millions de voyageurs transportés par an. Concrètement, chaque bus articulé de la ligne est équipé de rails en toiture. Le « bras » du pantographe vient dès lors se rattacher à ces rails pour assurer une recharge à hauteur de 300 kW du véhicule. Cette puissance lui permet d'assurer en moyenne 3 trajets de ligne, sans la nécessité de recharge dans l'intervalle, qui pour celle-ci, n'excède pas 15 minutes. L'entreprise ABB est aux manettes de la fabrication de ces pantographes, tandis que l'entreprise Citelum en assure la maintenance.
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Nouvelle ligne BHNS et acquisition de 315 bus électriques à Turin d'ici 2026
Turin se prépare pour sa transition énergétique, avec une offre en transport public sans précédent. La ville, rappelons-le, est celle de Fiat (acronyme de Fabbrica Italiana Automobili Torino, ou en français « société automobile italienne de Turin »)....
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Turin se prépare pour sa transition énergétique, avec une offre en transport public sans précédent. La ville, rappelons-le, est celle de Fiat (acronyme de Fabbrica Italiana Automobili Torino, ou en français « société automobile italienne de Turin »). La nouvelle ligne BHNS s'accompagnera de l'achat de 315 bus électriques d'ici trois ans, et de 122 gaz. Au total, avec, en plus, la prolongation d'une ligne de métro et l'ajout de 2 lignes de tramway, il s'agit d'un investissement de 700 millions d'euros.
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Nouvelle offre de bus d'Île-de-France Mobilités dans le Val Maubuée et le Bassin Chellois
Île-de-France Mobilités, l'Autorité organisatrice des transports, déploie progressivement une nouvelle offre de bus dans le Val Maubuée et le Bassin Chellois afin notamment de desservir un nouveau quartier sur la commune de Torcy. Concrètement, cette...
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Île-de-France Mobilités, l'Autorité organisatrice des transports, déploie progressivement une nouvelle offre de bus dans le Val Maubuée et le Bassin Chellois afin notamment de desservir un nouveau quartier sur la commune de Torcy. Concrètement, cette nouvelle offre se traduit par l'évolution du tracé de la ligne 211 et la création de la ligne 311, exploitées par la RATP, depuis aujourd'hui, 3 avril. L'opération consiste à modifier l'itinéraire de la ligne 211, qui deviendra circulaire au niveau du carrefour des Cantines pour desservir intégralement la ZAC des Coteaux par la route le Lagny et la rue de Chèvre. Composée de 17 arrêts et d'une longueur de 8 km, la ligne 311 reliera Chelles-Terre-Ciel et Noisiel RER avec quatre points d'arrêt supplémentaires. Elle reprendra ainsi une partie de l'itinéraire effectué jusqu'alors par la ligne 211. Tous les jours de l'année, la nouvelle ligne 311 passera par les communes de Chelles, Brou-sur-Chantereine, Vaires-sur-Marne, Torcy et Noisiel. La ligne 311 s'arrêtera à la base de loisirs de Vaires-Torcy (futur site olympique) et accueillera à terme, plus de 195 000 nouveaux voyageurs par an. Les voyageurs bénéficieront d'une flotte entièrement équipée de bus fonctionnant au GNV.
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Dakar devrait avoir son BHNS dans deux ans
En 2025, Dakar (Sénégal) devrait avoir son bus à haut niveau de service, avec des bus électriques signés du chinois CRRC et dotés de batteries de 563,8 kWh. Les bus rechargés de nuit auront 250 km d'autonomie. L'investisseur Meridian s'est rapproché ...
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En 2025, Dakar (Sénégal) devrait avoir son bus à haut niveau de service, avec des bus électriques signés du chinois CRRC et dotés de batteries de 563,8 kWh. Les bus rechargés de nuit auront 250 km d'autonomie. L'investisseur Meridian s'est rapproché de Keolis et de Fonsis, le budget de ce projet ayant été établi à 135 millions d'euros comprenant la maintenance pour une durée de quinze ans. 121 bus doivent être acquis pour cette somme, qui comprend également 18 km de site propre et des stations alimentées par des panneaux photovoltaïques.
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IDFM attribue des contrats de transport à Transdev, Keolis et Lacroix-Savac
Dans le cadre des délégations de service public et de la modernisation du réseau de bus de moyenne et grande couronne, Transdev est désigné pour l'exploitation des lignes de bus desservant la Communauté d'agglomération Cur d'Essonne, et pour l'...
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Dans le cadre des délégations de service public et de la modernisation du réseau de bus de moyenne et grande couronne, Transdev est désigné pour l'exploitation des lignes de bus desservant la Communauté d'agglomération Cur d'Essonne, et pour l'exploitation des lignes de bus desservant le cur urbain de la Communauté d'agglomération de Versailles Grand Parc. Ces contrats de délégation de service public débuteront le 1er août 2023 pour des durées respectivement de 6 ans et de 5 ans. Par ailleurs Keolis est désigné pour l'exploitation des lignes de bus desservant le Nord et l'Est de la Communauté d'agglomération de Roissy Pays de France. Ce contrat de délégation de service public débutera le 1er août pour une durée de 5 ans. Enfin, Île-de-France Mobilités attribue à Lacroix-Savac le marché public ayant pour objet l'exploitation des lignes de bus sur le territoire du plateau Briard, dans le département de la Seine-et-Marne. Ce marché public débutera également le 1er pour une durée de 4 ans. Le choix de ces délégataires a été validé par le Conseil d'Île-de-France Mobilités lors de sa séance du 6 mars dans le cadre des procédures de consultation lancées à partir de 2019 portant sur 36 lots de lignes de bus du réseau de transports en commun d'Île-de-France Mobilités.
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Nouvelle journée de galère pour de millions d'usagers des transports publics
À la suite d'un préavis appelant à une journée de grève interprofessionnelle le mardi 7 mars, les transports publics seront très perturbés sur les réseaux, ce qui sera aussi le cas pour les autobus. Dans un communiqué, la RATP, pour sa part, invite t...
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À la suite d'un préavis appelant à une journée de grève interprofessionnelle le mardi 7 mars, les transports publics seront très perturbés sur les réseaux, ce qui sera aussi le cas pour les autobus. Dans un communiqué, la RATP, pour sa part, invite tous les voyageurs qui en ont la possibilité à privilégier le télétravail ou à différer leurs déplacements sur le réseau ce jour-là et présente ses excuses pour les conditions de transport prévues.
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Arriva remporte la desserte de lignes d'une partie de l'est des Pays-Bas
Arriva peut célébrer une grande victoire, puisqu'il vient de remporter la concession Twente-ZHO à l'est des Pays-Bas (province de l'Overijssel), près de l'Allemagne. Le contrat, d'une durée de 4 ans plus une année supplémentaire optionnelle, d'une va...
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Arriva peut célébrer une grande victoire, puisqu'il vient de remporter la concession Twente-ZHO à l'est des Pays-Bas (province de l'Overijssel), près de l'Allemagne. Le contrat, d'une durée de 4 ans plus une année supplémentaire optionnelle, d'une valeur de 300 millions d'euros, va accélérer le déploiement de 100 bus zéro émission. Plus de 450 nouveaux salariés seront embauchés. Selon Anne Hettinga (photo), directeur général d'Arriva Pays-Bas et membre du conseil d'administration du groupe arriva, « Notre ambition est de nous développer aux Pays-Bas afin de procurer encore plus de services de transport aux usagers, les encourager à changer complètement leurs habitudes de mobilité, de laisser leur voiture au parking, ce qui ne fera que baisser les émissions polluantes et ce sera un pas important pour notre planète ». Le contrat d'Arriva comprend également les dessertes en train.
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Transports publics gratuits du Grand Lyon : les élus plancheront sur le projet
La gratuité des transports publics a ses avantages et ses inconvénients, et c'est surtout une question de financement... Selon notre confrère La Tribune de Lyon, les élus du Grand Lyon vont plancher sur cette question... Mais déjà on s'interroge : ai...
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La gratuité des transports publics a ses avantages et ses inconvénients, et c'est surtout une question de financement... Selon notre confrère La Tribune de Lyon, les élus du Grand Lyon vont plancher sur cette question... Mais déjà on s'interroge : ainsi le président de la Métropole, Bruno Bernard, n'a pas caché son scepticisme sur l'hypothèse de rendre les transports gratuits à Lyon. « Comment la Métropole trouve 300 millions d'euros par an pour faire la gratuité ? », dit-il, en réponse à ceux qui lui demandaient de créer un groupe de réflexion sur le sujet. Une commission composée de plusieurs élus sera finalement formée pour débattre de ce sujet. Rappelons qu'en 2019, le Sytral s'était déjà penché sur la question, concluant que la gratuité n'était pas adaptée à une ville comme Lyon et aux TCL. La perspective de la Zone à faibles émissions (ZFE) et l'interdiction progressive des véhicules les plus anciens et polluants a toutefois remis le sujet dans l'actualité.
En 2019, Le Sytral avait dit non à la gratuité des transports publics.
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En 2019, Le Sytral avait dit non à la gratuité des transports publics.
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Bilan des cars, bus et minis neufs dans le magazine Autocar & Bus Infos de février
Le numéro d'Autocar & Bus Infos de février, qui vient de paraître (n°221), fait un bilan complet des immatriculations de cars, bus et minis neufs en 2022 avec une comparaison en 2021... Les chiffres des 3A et du CCFA ont été croisés avec ceux des con...
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Le numéro d'Autocar & Bus Infos de février, qui vient de paraître (n°221), fait un bilan complet des immatriculations de cars, bus et minis neufs en 2022 avec une comparaison en 2021... Les chiffres des 3A et du CCFA ont été croisés avec ceux des constructeurs pour plus de précisions et de clarté. Ce numéro fait aussi une place importante au Ferqui Nora L sur châssis Iveco CC100, un midicar exceptionnel distribué en France par Negobus. Confort et volume sont au rendez-vous. Côté autocars de tourisme, il fait le compte-rendu de la présentation des nouvelles gammes Setra ComfortClass et TopClass au Portugal. Cliquez pour découvrir le sommaire et vous abonner.
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Le TAD ou transport à la demande touché par la pénurie de conducteurs
En raison de la pénurie de conducteurs de transports publics, cette fois, c'est le transport à la demande (ou TAD) qui est touché avec 4 000 postes non pourvus en France. Grèves à répétition, démissions, hausse de 10 % des arrêts maladie (entre 2019 ...
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En raison de la pénurie de conducteurs de transports publics, cette fois, c'est le transport à la demande (ou TAD) qui est touché avec 4 000 postes non pourvus en France. Grèves à répétition, démissions, hausse de 10 % des arrêts maladie (entre 2019 et 2021), rémunérations jugées trop peu élevées au regard de la pénibilité quotidienne : les signaux d'alerte sont sans appel, témoins d'une profession en crise inique Padam Mobility. Alors que le manque de personnel dans les transports publics est un état de fait structurel et généralisé, le transport à la demande (TAD) peut fonctionner avec des conducteurs détenant simplement le permis B. Rappelons que depuis 2014, Padam Mobility développe des solutions digitales de transport public à la demande dynamiques (TAD et TPMR), pour transformer les territoires périurbains et ruraux et rapprocher les communautés. Pour ce faire, l'entreprise propose aux opérateurs et collectivités une suite logicielle de solutions intelligentes et flexibles qui améliorent la mobilité là où la demande est peu dense. Cette suite repose sur des algorithmes puissants et l'intelligence artificielle. En 2021, Padam Mobility a rejoint le groupe Siemens et vient compléter son portefeuille de solutions digitales en transport et mobilité.
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Financement des autorités organisatrices de la mobilité (AOM) : la commission des finances du Sénat lance une mission d'information
La commission des finances du Sénat vient de lancer une mission d'information sur le financement des autorités organisatrices de la mobilité (AOM), composée de 19 membres. Au cours de cette réunion constitutive, Hervé Maurey (Union Centriste - Eure) ...
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La commission des finances du Sénat vient de lancer une mission d'information sur le financement des autorités organisatrices de la mobilité (AOM), composée de 19 membres. Au cours de cette réunion constitutive, Hervé Maurey (Union Centriste - Eure) et Stéphane Sautarel (Les Républicains - Cantal) en ont été désignés comme les rapporteurs. La mission d'information a ainsi défini ses objectifs : « En organisant l'offre de transports publics sur leur territoire, les régions et les intercommunalités qui exercent la compétence d'AOM jouent un rôle décisif dans la vie quotidienne des Français et pour la transition écologique de notre pays. La crise sanitaire et la période de forte inflation qui a suivi, notamment sur les prix de l'énergie, ont considérablement fragilisé leur équilibre financier, alors même que les AOM font aujourd'hui face à un ''mur d'investissements''. Les chantiers sont en effet de taille : transition écologique, nécessaire accroissement de l'offre de transports, adaptation aux nouveaux usages de la mobilité avec l'essor du télétravail... Si ces enjeux sont communs à l'ensemble des AOM, le cas spécifique d'Île-de-France Mobilités (IDFM) constitue à cet égard une source d'inquiétude majeure, à un an des Jeux Olympiques de Paris 2024. Face à ces constats, la mission conduira au printemps un cycle d'auditions avec l'ensemble des parties prenantes : État, collectivités territoriales, opérateurs de transports, usagers, entreprises, etc. Ces travaux, qui devront permettre de dresser un état des lieux de la situation financière des AOM au regard de leurs besoins de court, moyen et long termes, auront pour objectif de dégager des solutions pérennes et équilibrées pour améliorer leur système de financement. La mission rendra ses conclusions avant l'été 2023, en vue des débats budgétaires de l'automne » conclut le communiqué. La commission des finances est présidée par Claude Raynal (SER - Haute-Garonne). Son rapporteur général est Jean-François Husson (Les Républicains - Meurthe-et-Moselle).
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Transport UFR / PMR : 17 000 arrêts de lignes autocar adaptés sur 27 000
Interrogée sur l'accessibilité des transports routiers par La gazette des communes, Carole Guechi, déléguée ministérielle à l'accessibilité, a indiqué que seulement 17 000 arrêts de lignes interurbaines par autocar sur 27 000 en France ont été rendus...
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Interrogée sur l'accessibilité des transports routiers par La gazette des communes, Carole Guechi, déléguée ministérielle à l'accessibilité, a indiqué que seulement 17 000 arrêts de lignes interurbaines par autocar sur 27 000 en France ont été rendus accessibles. Cela représente 63 % des arrêts classés comme prioritaires, information basée sur un questionnaire envoyé à 18 régions. Seules 10 ont répondu. Cela dit, Mme Guechi précise que seulement un quart des arrêts dans l'Hexagone sont réellement accessibles le nombre total d'arrêts de lignes interurbaines en France s'élevant à 108 000 ! Elle observe d'énormes progrès côté matériel roulant : « Le matériel roulant, lui, s'est beaucoup modernisé, les cars sont équipés d'élévateur. Aujourd'hui, les cars et des bus en circulation sont de plus en plus accessibles, puisque équipés de rampes et de plateformes élévatrices, mais ce qui demeure un problème c'est l'accessibilité depuis l'arrêt pour faciliter la montée et la descente en autonomie ». Dans l'urbain, un effort important a été réalisé en ce qui concerne la mise en conformité hauteur trottoir / emmarchement des bus notamment : à ce jour, 60 % des 28 900 arrêts prioritaires ont été aménagés et rendus accessibles.
Photo Sytral / X D.R.
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Photo Sytral / X D.R.
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Le titre unique de transport pour toute la France, une priorité pour le ministre des Transports
Clément Beaune, ministre des Transports, espère expérimenter le titre unique de transport dès la fin de l'année pour une généralisation d'ici à 2025, peut-on lire dans 20minutes d'aujourd'hui. Selon le ministre, « quand on pense transports, on pen...
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Clément Beaune, ministre des Transports, espère expérimenter le titre unique de transport dès la fin de l'année pour une généralisation d'ici à 2025, peut-on lire dans 20minutes d'aujourd'hui. Selon le ministre, « quand on pense transports, on pense d'abord grandes infrastructures (...), si on veut développer les transports publics, il faut des lignes de trains, de tram, de métros... Mais on néglige trop ce qui est service, usage, innovation. Or, on s'aperçoit que l'attractivité des transports publics au quotidien dépend aussi beaucoup du service qui est rendu en matière de sécurité, de propreté, d'information voyageurs, d'indemnisation, de facilité d'accès, etc. C'est exactement l'esprit de la loi d'Orientation des mobilités, qu'a portée la Première ministre ». La France observe également ce qui se passe chez ses voisins européens : un billet unique à 49 euros en Allemagne, un seul titre de transport aux Pays-Bas, les Suisses s'y sont engagés, l'Autriche y réfléchit aussi. « Les pays les plus engagés dans la transition écologique sont en train de le faire. Le billet unique pour simplifier la vie des utilisateurs, c'est une vraie révolution dans les transports » a précisé le ministre. Ce mercredi, un jury sélectionnera le projet technologique qui permettra d'expérimenter avant la fin de l'année prochaine, le titre unique de transport. Il pourrait s'agir d'une application, soit de titres dématérialisés reconnus et lus par tous.
Photo 20minutes / X D.R.
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Photo 20minutes / X D.R.
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Un service « auto/autocar » avec un double étage hydrogène
Une startup de Dijon, dont le véhicule baptisé Symone a été récipiendaire des trophées Hydrogénies en 2022, vient d'inventer le service auto/autocar avec un autocar double étage roulant à l'hydrogène... Tandis que les voitures sont garées au deuxième...
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Une startup de Dijon, dont le véhicule baptisé Symone a été récipiendaire des trophées Hydrogénies en 2022, vient d'inventer le service auto/autocar avec un autocar double étage roulant à l'hydrogène... Tandis que les voitures sont garées au deuxième niveau (4 au total), les 20 passagers du premier niveau sont confortablement assis dans des sièges larges inclinables et dans une ambiance cosy, avec prises USB et accès wifi. Le véhicule peut également embarquer des motos dans la partie arrière (5 au total). La description ressemble beaucoup à celui des premiers modes de transport d'autrefois : « Dès 2024, Symone proposera une nouvelle expérience de la route, l'esprit libre. De jour comme de nuit, imaginez le confort de vous laisser transporter sur l'autoroute pour arriver frais et reposé à votre destination avec votre véhicule. Vous avez pu dormir, travailler, ou passer plus de temps en famille. Sur des trajets maintenant plus sûrs et plus décarbonés ». La société souligne également le fait que « Le transport collectif routier est le mode de déplacement terrestre le plus sûr, 30 fois plus sûr que la voiture ! ». Le double étage, plus proche d'un porte autos de luxe que d'un autocar classique, adopte des lignes fluides et aérodynamiques, deux essieux à l'avant et un double à l'arrière pour la remorque. Le prototype pourrait être réalisé sur un châssis Scania (les pourparlers sont en cours avec Scania France) et une motorisation au biogaz. Une solution plus simple selon la startup et moins coûteuse. Le proto doit voir le jour avant l'été 2024, à l'occasion des Jeux Olympiques de Paris. Ce n'est que plus tard que Symone roulera à l'hydrogène, la piste du rétrofit est étudiée.
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CTPL, filiale de RATP Dev, reconduite à Laon
La Communauté d'Agglomération du Pays de Laon a renouvelé sa confiance à CTPL, filiale de RATP Dev, en lui attribuant l'opération et la maintenance du réseau TUL pour 7 nouvelles années, de 2023 à 2029. Ce renouvellement est l'occasion d'affirmer une...
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La Communauté d'Agglomération du Pays de Laon a renouvelé sa confiance à CTPL, filiale de RATP Dev, en lui attribuant l'opération et la maintenance du réseau TUL pour 7 nouvelles années, de 2023 à 2029. Ce renouvellement est l'occasion d'affirmer une nouvelle étape dans le fonctionnement partenarial entre l'opérateur et l'agglomération, pour dynamiser encore plus l'offre de transport. La nouvelle délégation de service qui a démarré au 1er janvier permettra de poursuivre la mission confiée à RATP Dev depuis 2016, portant sur la gestion technique, administrative, financière et commerciale, ainsi que l'entretien et la maintenance des installations du réseau TUL. Ainsi, CTPL assurera l'exploitation du réseau urbain, constitué de 5 lignes de bus régulières, qui dessert Laon et Chambry. Sont également concernés les transports interurbains, organisés en 13 lignes gérées par la Communauté d'Agglomération du Pays de Laon ou par la Région (Hauts-de-France). Enfin, CTPL assure un service de Transport à la Demande sur l'ensemble des 38 communes de l'agglomération.
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