A la veille de la 17e édition de la Rentrée du transport public (16 au 22 septembre), des milliers de salariés laissent leur voiture au garage et se déplacent depuis leur domicile à leur travail en transports en commun... Les élus du Gart et de l'UTP ne s'attendaient sans doute pas à ce changement de comportement à la rentrée, mais face à la hausse du prix du carburant et l'inflation, ces « nouveaux » clients prennent aujourd'hui le bus (mais aussi le tramway, le métro, le vélo). Dans le Finistère, « La hausse des prix et la progression de la conscience écologique font sauter le pas à de plus en plus de Finistériens. Ils délaissent la voiture pour leurs déplacements professionnels et personnels. Avec les joies et les contraintes d'un tel choix » explique FranceBleu qui a enquêté dans la région de Quimper. On plébiscite le bus surtout chez les étudiants. Il y a davantage d'actifs qu'auparavant, contraints par l'augmentation des prix du gazole, de l'essence et de la vie en général. Claude s'y est mis et, depuis, il parcourt l'agglomération quimpéroise en bus : « (...) Mon salaire ne me permet pas de prendre la voiture, quand vous comparez, le calcul est vite fait ». Le bus lui coûte 16 euros par mois, puisque son employeur lui rembourse la moitié de l'abonnement.
A la veille de la 17e édition de la Rentrée du transport public (16 au 22 septembre), des milliers de salariés laissent leur voiture au garage et se déplacent depuis leur domicile à leur travail en transports en commun... Les élus du Gart et de l'UTP ne s'attendaient sans doute pas à ce changement de comportement à la rentrée, mais face à la hausse du prix du carburant et l'inflation, ces « nouveaux » clients prennent aujourd'hui le bus (mais aussi le tramway, le métro, le vélo). Dans le Finistère, « La hausse des prix et la progression de la conscience écologique font sauter le pas à de plus en plus de Finistériens. Ils délaissent la voiture pour leurs déplacements professionnels et personnels. Avec les joies et les contraintes d'un tel choix » explique FranceBleu qui a enquêté dans la région de Quimper. On plébiscite le bus surtout chez les étudiants. Il y a davantage d'actifs qu'auparavant, contraints par l'augmentation des prix du gazole, de l'essence et de la vie en général. Claude s'y est mis et, depuis, il parcourt l'agglomération quimpéroise en bus : « (...) Mon salaire ne me permet pas de prendre la voiture, quand vous comparez, le calcul est vite fait ». Le bus lui coûte 16 euros par mois, puisque son employeur lui rembourse la moitié de l'abonnement.