Un important fabricant de l'industrie italienne d'autobus, Industria Italiana Autobus (IIA), cède des parts au géant chinois Geely, pour rappel, déjà propriétaire des voitures Volvo, Smart, Polestar... rapporte notre confrère Pullman. Comme l'a approuvé le conseil d'administration d'IIA, le groupe Geely entrera au capital d'IIA (qui commercialise les bus sous la marque Menarinibus, et qui a vendu le mini Zeus électrique en France) et ce notamment après la sortie de l'actionnariat de Karsan. Geely qui rajoute une nouvelle activité à son groupe aura à sa disposition un savoir-faire et une technologie dans le domaine du transport de personnes sans avoir à faire des investissements colossaux. Des rumeurs circulent selon lesquelles il pourrait convertir l'ancienne usine d'Irisbus de Valle Ufita à la production de voitures et ainsi contourner les éventuelles taxes imposées par les gouvernements européens. Selon les informations recueillies par Pullman, l'ancienne usine Menarinibus à Bologne serait ainsi définitivement fermée avec un avenir incertain pour les soixante-dix-sept salariés. Leur transfert éventuel sur le site de Valle Ufita pourrait être envisagé.
Un important fabricant de l'industrie italienne d'autobus, Industria Italiana Autobus (IIA), cède des parts au géant chinois Geely, pour rappel, déjà propriétaire des voitures Volvo, Smart, Polestar... rapporte notre confrère Pullman. Comme l'a approuvé le conseil d'administration d'IIA, le groupe Geely entrera au capital d'IIA (qui commercialise les bus sous la marque Menarinibus, et qui a vendu le mini Zeus électrique en France) et ce notamment après la sortie de l'actionnariat de Karsan. Geely qui rajoute une nouvelle activité à son groupe aura à sa disposition un savoir-faire et une technologie dans le domaine du transport de personnes sans avoir à faire des investissements colossaux. Des rumeurs circulent selon lesquelles il pourrait convertir l'ancienne usine d'Irisbus de Valle Ufita à la production de voitures et ainsi contourner les éventuelles taxes imposées par les gouvernements européens. Selon les informations recueillies par Pullman, l'ancienne usine Menarinibus à Bologne serait ainsi définitivement fermée avec un avenir incertain pour les soixante-dix-sept salariés. Leur transfert éventuel sur le site de Valle Ufita pourrait être envisagé.
Photo Gilbert
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