Par le biais d'un communiqué paru le 5 février, le carrossier constructeur Safra à Albi a fait le point sur sa situation. Nous le publions en intégralité : « Par décision du Tribunal de Commerce d'Albi en date du 4 février 2025, la société Safra S.A, pionnière de la mobilité hydrogène et acteur historique des services dédiés aux Autorités Organisatrices de la Mobilité, a été placée en redressement judiciaire. Malgré des sources de financements engagées et travaillées, les délais de réalisation sont devenus incompatibles avec nos besoins. Nos équipes se sont mobilisées sans relâche pour surmonter ces difficultés, en trouvant des solutions tout au long de l'année 2024. Ce redressement judiciaire a pour objectif de nous permettre de poursuivre notre activité et de restructurer notre passif sous l'égide du tribunal de Commerce. Une nouvelle page débute pour Safra et c'est dans cette optique que nous poursuivons activement les discussions engagées avec un consortium financier asiatique, une perspective qui offre à l'entreprise une véritable opportunité de relance. Cette situation ouvre également la porte à d'autres investisseurs, dont certains connaissent déjà le dossier ». Selon le président du directoire de Safra, Vincent Lemaire, cette situation ne signifie en aucun cas la fin de l'entreprise. Le redressement judiciaire est une étape qui doit lui permettre de se restructurer et de repartir sur des bases plus solides a indiqué le haut responsable.
Par le biais d'un communiqué paru le 5 février, le carrossier constructeur Safra à Albi a fait le point sur sa situation. Nous le publions en intégralité : « Par décision du Tribunal de Commerce d'Albi en date du 4 février 2025, la société Safra S.A, pionnière de la mobilité hydrogène et acteur historique des services dédiés aux Autorités Organisatrices de la Mobilité, a été placée en redressement judiciaire. Malgré des sources de financements engagées et travaillées, les délais de réalisation sont devenus incompatibles avec nos besoins. Nos équipes se sont mobilisées sans relâche pour surmonter ces difficultés, en trouvant des solutions tout au long de l'année 2024. Ce redressement judiciaire a pour objectif de nous permettre de poursuivre notre activité et de restructurer notre passif sous l'égide du tribunal de Commerce. Une nouvelle page débute pour Safra et c'est dans cette optique que nous poursuivons activement les discussions engagées avec un consortium financier asiatique, une perspective qui offre à l'entreprise une véritable opportunité de relance. Cette situation ouvre également la porte à d'autres investisseurs, dont certains connaissent déjà le dossier ». Selon le président du directoire de Safra, Vincent Lemaire, cette situation ne signifie en aucun cas la fin de l'entreprise. Le redressement judiciaire est une étape qui doit lui permettre de se restructurer et de repartir sur des bases plus solides a indiqué le haut responsable.
