La direction de la RATP a rencontré vendredi 18 février les syndicats de salariés pour proposer une hausse salariale de +2,7 % des rémunérations en moyenne. La rencontre avait lieu dans le cadre de la réunion de négociation annuelle obligatoire (NAO) sur l'évolution des salaires alors que se déroule la grève de ses conducteurs. Lors de cet échange auquel ont participé la CFE-CGC, la CGT, l'UNSA et FO, la direction a aussi proposé une prime de 200 euros nets en mars à environ 24 000 salariés (prime exonérée de charges sociales et non imposable). Puis, l'intégration partielle de la prime-emploi au salaire statutaire dès le 1er janvier 2022, ce qui a pour effet de pérenniser l'impact positif sur le montant du 13e mois ainsi que sur le futur montant de la pension de retraite des 35 000 opérateurs de l'entreprise. La revalorisation de plusieurs indemnités, notamment relative au télétravail, au travail les dimanches et les jours fériés (35 000 salariés travaillent au moins un dimanche dans l'année), et de l'enveloppe consacrée aux primes de résultat pour l'encadrement. Une revalorisation de l'allocation complémentaire de déplacement a aussi été proposée aux salariés qui utilisent leur véhicule pour se rendre sur leur lieu de travail afin de tenir compte de la hausse du prix des carburants. Enfin, l'indemnité de maintien de pouvoir d'achat est reconduite. Au total, ce sont plus de 100 millions d'euros qui seront redistribués aux salariés en 2022.
La direction de la RATP a rencontré vendredi 18 février les syndicats de salariés pour proposer une hausse salariale de +2,7 % des rémunérations en moyenne. La rencontre avait lieu dans le cadre de la réunion de négociation annuelle obligatoire (NAO) sur l'évolution des salaires alors que se déroule la grève de ses conducteurs. Lors de cet échange auquel ont participé la CFE-CGC, la CGT, l'UNSA et FO, la direction a aussi proposé une prime de 200 euros nets en mars à environ 24 000 salariés (prime exonérée de charges sociales et non imposable). Puis, l'intégration partielle de la prime-emploi au salaire statutaire dès le 1er janvier 2022, ce qui a pour effet de pérenniser l'impact positif sur le montant du 13e mois ainsi que sur le futur montant de la pension de retraite des 35 000 opérateurs de l'entreprise. La revalorisation de plusieurs indemnités, notamment relative au télétravail, au travail les dimanches et les jours fériés (35 000 salariés travaillent au moins un dimanche dans l'année), et de l'enveloppe consacrée aux primes de résultat pour l'encadrement. Une revalorisation de l'allocation complémentaire de déplacement a aussi été proposée aux salariés qui utilisent leur véhicule pour se rendre sur leur lieu de travail afin de tenir compte de la hausse du prix des carburants. Enfin, l'indemnité de maintien de pouvoir d'achat est reconduite. Au total, ce sont plus de 100 millions d'euros qui seront redistribués aux salariés en 2022.